Depuis la fin des années 1990, des crises survenues dans le monde agricole, par exemple celles de la vache folle, de la tremblante du mouton, de la grippe aviaire et de la fièvre aphteuse, ont mis en lumière la nécessité de créer un système capable de protéger la santé publique, le bien-être animal et notre économie.
1997 – Début du développement du programme Lait canadien de qualité (LCQ) par les Producteurs laitiers du Canada.
1998 – Introduction d’un programme volontaire multiespèces appelé Identification nationale des bovins laitiers (INBL) prévoyant des codes à barres sur les identifiants des animaux.
2001 – Entrée en vigueur de l’obligation, en vertu de la réglementation fédérale, d’apposer un identifiant d’oreille sur les bovins.
2003 – Modification des identifiants munis de la technologie d’identification par radiofréquence (RFID) conformément au système de codification ISO 3166.
2010 – Bonification du programme par des améliorations apportées à la qualité, aux normes, aux prix et à la distribution des identifiants.
2015 – Participation de 99 % des fermes laitières détenant un permis au programme Lait canadien de qualité (LCQ), et lancement de proActionMD par les Producteurs laitiers du Canada.
2017 – Qualification du Réseau laitier canadien (CDN) pour devenir administrateur national responsable pour la traçabilité des bovins laitiers.
2019 – Création de Lactanet Canada à l’issue d’un partenariat entre le Réseau laitier canadien (CDN), CanWest DHI et Valacta.
2020 – Octroi à Lactanet Canada par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) du statut officiel d’administrateur national responsable pour les bovins laitiers au Canada, et lancement par Lactanet Canada de TracéLaitier.
2022 – Atteinte d’une proportion de 97 % des producteurs laitiers actifs du Canada à avoir activé leur compte TracéLaitier. Hausse de 22 % des ventes d’identifiants blancs par rapport à 2021.